jeudi 7 avril 2011

La Turquie est la preuve qu'Islam et démocratie peuvent coexister, selon Ankara

A Paris, le ministre des Affaires européennes turc, Egemen Bagis, a tenté de répondre à toutes les objections brandies par ceux qui s'oppose à l'entrée de son pays dans l'UE.

En visite à Paris, mercredi 6 avril, le ministre des Affaires européennes turc, Egemen Bagis, a tenté de faire évoluer la position du gouvernement français, farouchement opposé à l’entrée de la Turquie dans l’UE.Au cours d’une rencontre avec la presse, M. Bagis a mis les pieds dans le plat, soulevant les objections les plus courantes à l’entrée de son pays dans l’Europe...

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L'Europe et la crise mondiale expliquées en 10 fiches

Le centre de recherche spécialisé dans l’étude des politiques européennes publie un recueil de dix fiches, une façon d’aborder pédagogiquement les mesures prises par l’Union pour sortir de la crise. 
Le chercheur, Sébastian Paolo, déjà co-auteur du rapport Schuman « Sur l’état de l’Union en 2011 » signe ce travail. Ses recherches ont avant...

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Télécharger les 10 fiches robert-schuman.eu
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Allemagne : croissance revue en forte hausse et déficit en nette baisse

Les cinq principaux instituts de recherche économique Outre-Rhin ont annoncé jeudi tabler en 2011 sur une croissance de 2,8 % et un déficit des finances publiques de 1,7 % du PIB pour la première économie européenne.
Les instituts sont plus optimistes que le gouvernement allemand, qui attend jusqu'ici en 2011 une croissance de 2,3 % et un déficit public de quelque 2,5 %.
L'Allemagne avait affiché l'an dernier une croissance de 3,6 % et un déficit de 3,3 %. 
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La part du dollar dans les réserves de changes des Banques centrales diminue toujours


Selon les dernières statistiques trimestrielles établies par le FMI, la part du dollar dans les réserves de changes des banques centrales, continue de se réduire.

La devise américaine n’en représente plus, fin 2010, que 61,4 % contre 62 % un an plus tôt. L’euro et la livre sterling suivent également ce mouvement, la part de la monnaie européenne s’étant contractée, d’un trimestre à l’autre, de 22,6 à 22,4 %.

Des quatre grandes monnaies, seul le yen, pour la même période, a légèrement augmenté de 2,7 % à 2,8 %. Le poids de la catégorie « autres devises » a, quant à elle, enregistré une forte hausse au cours des trois derniers mois 2010 passant de 4,9 à 5,5 % au 31 décembre. A fin 2010, les réserves de change de la Chine se montent à USD 2 869 milliards supérieures d’USD 22 milliards au montant estimé.

fenetreeurope.com
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Jean Monnet Summer Seminar

The Jean Monnet Centre of Excellence of the University of Roma Tor Vergata, in partnership with Eurosduvillage group, is organizing the eighth edition of the Jean Monnet Summer Seminar a high level seminar on the functioning of the European Union addressed to graduate and Phd students as well as young civil servants. The seminar include two teaching modules lasting one week. The first module (4-8 July) will analyze the decision making process of the European Union while the second one (11-15 July) the foreign policy of the European Union. For more information and registration go to : http://www.eusummerseminar.uniroma2.it/

eurosduvillage.eu
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L'Allemagne,la France, la crise de l'euro et la gouvernance économique


Alors que le "Pacte pour l'euro plus" a été formellement adopté lors du Conseil européen des 24 et 25 mars et qu'un accord a été trouvé pour renforcer les mécanismes de stabilité de la zone euro, les deux députés européens, piliers de la coopération franco-allemande au PE, Andreas Schwab (All.) et Jean-Paul Gauzès (Fr.), étaient les invités des Rencontres du Cercle des Européens – L'Express, le 31 mars.

Andreas Schwab revient sur les termes du débat en Allemagne autour de la crise de l'euro et plaide pour une réduction des déficits des Etats, qu'il considère comme "le défi global de l'UE".

Pour Jean-Paul Gauzès, la phase de mise en œuvre du Fonds européen de stabilité financière (FESF) et du Mécanisme européen de stabilité (MES) sera cruciale pour mettre fin à la spirale de la crise au sein de la zone euro et tenter de rassurer les marchés. Rapporteur sur règlement de 2009 relatif aux agences de notation, il estime qu'il faut à présent s'attaquer "au volet de la notation de la dette souveraine", dont les conséquences sont parfois "catastrophiques".

Voir la video :
http://www.fenetreeuropetv.com
http://www.ceuropeens.org
 
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Le Portugal appelle l'Europe à l'aide

La crise politque portugaise s'est payée cash: hier soir, le premier ministre démissionnaire, le socialiste José Socrates, a dû se résoudre à appeler à l'aide la zone euro, son pays étant désormais incapable de se financer à des taux supportables sur les marchés. La défiance des investisseurs - qui s'est traduite par une forte dégradation de la dette publique portugaise par les agences de notation - a atteint un tel niveau que Lisbonne n'avait guère d'autre choix que de demander l'activation du Fonds européen de stabilité financière (FESF). L'opposition, qui a refusé de voter le dernier plan d'austérité, n'aura désormais d'autre choix que d'accepter un plan qui s'annonce au moins aussi rigoureux... Socrates espère sans doute en tirer des bénéfices électoraux en faisant porter la responsabilité de cet échec à la droite et à la gauche radicale.

Bref, après la Grèce et l'Irlande, un troisième domino de la zone euro est tombé. Désormais, la question est de savoir si la bataille d'Espagne aura ou non lieu. Depuis quelques semaines, les marchés semblent avoir entendu le message des partenaires de Madrid et ont clairement différencié les situations portugaise et espagnole. Reste à savoir si cette digue patiemment érigée va tenir.

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Bruxelles cherche à protéger la vie privée

La Commission européenne a signé un accord avec les industriels afin de protéger les données personnelles des utilisateurs de puces intelligentes. Celles-ci sont présentes dans les téléphones portables, les ordinateurs ou encore les voitures.

EN BREF
La Commission européenne a signé, mercredi 6 avril, un accord avec les industriels, les organismes européens de protection des données et la société civile afin d’étudier les conséquences de l’utilisation des puces intelligentes.

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Microsoft-Google, le clash des titans

« Notre plainte vise une série d’actions mises en place par Google pour consolider sa position dominante sur le marché de la recherche en ligne »
La guerre est officiellement déclarée, et elle s’annonce intense. Microsoft, le géant américain du logiciel, vient en effet de porter plainte contre Google, le géant d’Internet, pour protester contre ce qu’il considère comme des pratiques anticoncurrentielles. Et tout cela se déroule devant… la Commission européenne, puisqu’il s’agit de l’instance devant laquelle Microsoft a déposé sa requête.
L’enjeu économique est clair : Dans un monde où Internet est devenu omniprésent, la firme fondée par Bill Gates, dont les difficultés à négocier le virage du web sont reconnues, cherche à tout prix à rattraper son retard sur sa jeune rivale (Google n’a été fondé qu’en 1998), en particulier dans le domaine de la recherche en ligne. Elle a pour cela lancé Bing, un nouveau moteur de recherche, en 2009, et a même repris Yahoo !, l’ancien leader du secteur en perte de vitesse aujourd’hui. Las, ces efforts tardent à porter leurs fruits, notamment en Europe, où l’on estime que Google concentre plus de 90% de la recherche en ligne.
La faute aux pratiques anticoncurrentielles de Google, affirme Microsoft, qui en dénombre six selon une déclaration du juriste en chef expliquant la démarche de l’entreprise. Celles-ci vont de l’affirmation que Google ne permet pas à Bing et au système d’exploitation pour téléphones mobiles de Microsoft d’utiliser proprement YouTube (site racheté par Google en 2006) à celle selon laquelle Google empêcherait que d’autres moteurs de recherche aient un accès correct aux livres que Google scanne et met à disposition en ligne. Google mettrait également des bâtons dans les roues des entreprises qui voudraient effectuer de la publicité sur Bing et d’autres sites de recherche en ligne.
Microsoft n’est pas la première entreprise à attaquer Google sur la façon dont l’entreprise utilise sa position dominante dans la recherche en ligne – au moins 3 autres compagnies avaient en effet déjà déposé plainte devant la Commission, dont une possédée par… Microsoft. Mais avec cette plainte, la firme de Redmond abat enfin entièrement son jeu, donnant d’un seul coup une dimension bien plus sensible à l’affaire. Une affaire ironique sous bien des aspects d’ailleurs, quand on pense que Microsoft fut elle-même, et jusqu’en 2009, sujette aux remontrances répétées de la Commission européenne… Google, l’entreprise qui affirme vouloir faire du business « sans faire le mal », serait-elle en passe de devenir le nouveau meilleur ennemi de Bruxelles ? La suite au prochain épisode…

eurosduvillage.eu
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Baisse du chômage

Selon les chiffres publiés en fin de semaine dernière par Eurostat, l’office des statistiques de l’Union européenne, le taux de chômage dans la zone euro s’est établi en février à 9,9% de la population active de la zone euro, et à 9,5% pour l’UE dans son ensemble. Il s’agit d’une légère baisse par rapport aux chiffres de janvier, avec respectivement, selon le journal l’Express, 99.000 chômeurs de moins dans l’UE et 77.000 dans la zone euro. Ceci permet cependant à la zone euro de repasser sous la barre des 10% de chômage pour la première fois depuis décembre 2009. Une baisse qui ne peut cependant pas cacher la situation toujours très précaire du marché du travail sur le continent (qui compte toujours plus de 23 millions de demandeurs d’emploi) et surtout les situations toujours très disparates entre les différents Etats : tandis que le taux de chômage en Autriche et aux Pays-Bas est à moins de 5%, il est à plus de 14% en Irlande et à plus de 20% en Espagne.

eurosduvillage.eu
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Crise économique : ... et les inquiétudes montent !

La banque centrale irlandaise annoncé jeudi 31 mars le résultat des derniers « stress tests » conduits auprès des banques du pays afin d’évaluer les capitaux supplémentaires (c’est-à-dire étatiques) dont celles-ci auraient besoin pour faire face à une nouvelle crise de marché. Résultat : 24 milliards d’euros, ce qui portera la facture totale du sauvetage du système bancaire irlandais à 70 milliards d’euros (l’Etat en a déjà injecté plus de 46 milliards)… soit la moitié de la richesse annuelle du pays, selon le journal Le Monde ! Ce résultat n’est cependant pas une surprise, même s’il se situe plutôt dans la fourchette haute des estimations initiales. Selon Klaus Regling, le directeur général du Fonds Européen de Stabilité Financière, le montant est d’ailleurs largement couvert par le plan de sauvetage accordé (ou imposé, diraient certains) à l’Irlande à la fin de l’année dernière. Cette nouvelle injection de capitaux publics entraînera cependant une nationalisation quasi-totale du système bancaire du pays, une nécessité que le nouveau ministre des finances a promis de compenser par « une restructuration radicale » du secteur.
C’est encore et toujours le Portugal qui inquiète le plus. Alors que le pays vient d’entrer en campagne électorale et qu’il devra rembourser pour 2 milliards d’euros dès le mercredi 6 avril, les taux d’intérêts à cinq ans ont atteint près de 9,91% cette semaine, soit des niveaux supérieurs à ceux connus au plus fort de la crise irlandaise. Selon le Financial Times, ceci signifie qu’une grande partie des investisseurs table sur le fait que le Portugal ne pourra pas rembourser sa dette sans le concours de l’Europe, ce que seul le premier ministre démissionnaire José Socrates semble encore nier.
Mais le secours financier de l’UE sera-t-il même suffisant ? De plus en plus d’observateurs en doutent face aux difficultés de la Grèce et de l’Irlande, dont la dette publique continue d’augmenter malgré des programmes d’austérité drastiques. La faute, selon eux, est justement à mettre sur le compte de ces programmes d’austérité, qui ont pour l’instant plombé la croissance sans rétablir la compétitivité. De là à dire que l’Europe s’est trompée de stratégie face à la crise de sa dette souveraine, il y a un pas... qui sera peut-être franchi dans les prochains mois.

eurosduvillage.eu
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L'Europe championne du dépôt de marques, la Chine en pleine expansion

Les pays européens, avec l'Allemagne en tête, ont déposé le plus grand nombre de marques à l'échelle mondiale, laissant seulement entrer les Etats-Unis  dans le top cinq et la Chine, le Japon et la Russie dans le top dix, a révélé l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) ce lundi (4 avril).

Lire euractiv.com
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Le handicap de l'Europe : la faiblesse de ses dirigeants nationaux

Si Sarkozy était moins imprévisible, Merkel moins sujette à la panique, Zapatero plus convaincant et si Berlusconi faisait moins le pitre, l'Europe serait moins handicapée. » Pour « Charlemagne », la chronique sur l'Europe de « The Economist », la faiblesse de l'Union européenne tient à ses dirigeants nationaux.

Lire lesechos.fr
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Un code de conduite pour les fonctionnaires européens

Le Médiateur européen prépare un code de conduite pour les fonctionnaires de l’Union européenne. Il invite les citoyens à apporter leur contribution en ligne, sur son site, jusqu’au 15 mai.
Les fonctionnaires européens sont près de 55.000. Deux sur trois travaillent pour la Commission européenne, les autres pour le Parlement européen (12%), la Cour de Justice ou les grandes agences comme l’Agence européenne des médicaments ou l’Autorité de sécurité des aliments.
Le Médiateur européen, Nikiforos Diamandouros, qui examine les défaillances de l’administration européenne, veut coucher, noir sur blanc, les principes éthiques qui doivent gouverner l’action des fonctionnaires. Ce code de déontologie tiendra sur une seule page, pas plus, pour faciliter la consultation.
Lire france-info.com
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L’Europe vieillit mais en bonne santé


Le troisième rapport sur la démographie, publié en coopération avec Eurostat, indique que les Européens vivent plus longtemps et en meilleure santé. Le nombre de personnes de plus de 60 ans s’accroît de 2 millions chaque année
Le rapport, présenté le 1er avril à l’occasion de la réunion ministérielle informelle sur la démographie et la politique familiale, à Budapest, révèle une légère augmentation des taux de fertilité et un allongement de l’espérance de vie puisque les Européens vivent aujourd’hui en moyenne deux à trois mois de plus chaque année. L’Union européenne se diversifie aussi davantage et les modèles familiaux évoluent.
Il ressort des résultats d’une nouvelle enquête Eurobaromètre que les jeunes Européens sont de plus en plus attirés par l’exercice d’un métier dans un autre État membre. Il est plus que jamais nécessaire d’adapter les politiques de l’Union européenne à cette évolution. Le rapport contient des informations à jour qui alimenteront le débat sur les changements démographiques dans l’Union.
Pour László Andor, le commissaire européen chargé de l’emploi, des affaires sociales et de l’inclusion, « l’espérance de vie s’allonge alors que la main-d’œuvre européenne est de moins en moins nombreuse et que cette réduction est même très rapide dans certains États membres. Nous devons adapter nos politiques pour promouvoir un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie familiale, de sorte que les parents puissent élever des enfants tout en continuant à travailler, et nous devons concevoir des politiques qui encouragent les Européens à rester actifs plus longtemps ». Et d’ajouter : « La stratégie de l’Union européenne – Europe 2020 – fournit le cadre dans lequel des efforts doivent être consentis pour accroître l’emploi et réduire la pauvreté ; mais pour répondre au défi démographique, nous devons aussi polariser nos priorités dans des domaines comme la santé, les migrations et les politiques régionales ».
Un point positif de l’évolution mise en évidence dans le rapport est la lenteur de la croissance continue de la fertilité. Celle-ci s’est accrue de 1,45 à 1,6 enfant par femme. Toutefois, une population qui se veut autosuffisante devrait avoir 2,1 enfants par femme. Selon le rapport, des politiques familiales modernes sont un bon moyen d’améliorer l’emploi grâce à une meilleure conciliation du travail rémunéré et des responsabilités familiales. Il établit une corrélation positive entre la participation des femmes au marché du travail et des taux de fertilité plus élevés.
L’espérance de vie s’est également allongée selon un schéma pratiquement continu et uniforme, au rythme de 2 à 3 mois par an (en 2008, l’espérance de vie dans l’UE-27 était de 76,4 ans pour les hommes et de 82,4 ans pour les femmes), et représente le principal moteur du vieillissement de la population.
Parallèlement, l’enjeu démographique est de nature géographique, dans la mesure où les populations de quatre États membres (Bulgarie, Lettonie, Lituanie et Roumanie) diminuent rapidement sous l’effet de l’accroissement naturel (plus de décès que de naissances) et de l’émigration. Le vieillissement de la population d’Europe centrale est lent pour le moment, mais il va s’accélérer très rapidement à partir de 2030-2040, et cette population (et notamment la population slovaque) deviendra alors la population la plus âgée de l’UE.
Le rapport illustre aussi combien l’accroissement de la population européenne reste alimenté par l’immigration. Les pays de l’UE ont accueilli des ressortissants extérieurs à l’UE à un rythme de 1 à 2 millions de personnes par an, et la mobilité à l’intérieur de l’UE s’est aussi intensifiée. La proportion des migrants et de leurs descendants doublera d’ici 2060. Bien que l’immigration nette vers l’UE ait diminué de moitié en raison de la crise, le nombre total de citoyens non-ressortissants de l’UE à l’intérieur des frontières de l’UE a continué d’augmenter. Les chiffres montrent que cette réduction est due à un repli des migrations de travailleurs, en dépit d’une augmentation des demandes d’autorisations d’éducation, par exemple.
Des données récentes témoignent de la volonté affichée des migrants de seconde génération d’atteindre des niveaux d’éducation et d’emploi semblables à ceux des ressortissants locaux, mais ces migrants sont encore ralentis dans leur progression par des taux de chômage élevés. Il s’agit là d’un domaine dans lequel l’UE doit continuer à encourager les politiques actives d’inclusion et les mesures destinées à renforcer l’intégration.
Concernant la mobilité à l’intérieur de l’UE, la nouvelle enquête Eurobaromètre révèle qu’un répondant sur cinq dans l’UE-27 a travaillé ou étudié dans un autre pays, a vécu avec un partenaire d’un autre pays ou est propriétaire d’un bien situé à l’étranger. Un répondant sur dix envisage de s’installer dans un autre État membre au cours des dix prochaines années.

place-publique.fr
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